Pêle-mêle

15 novembre 2022

TRISTE RÉALITÉ

Publié par ditchlakwak dans Les choses de la vie

Une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans en 2022

Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans.
J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux ZEP et un établissement classé « zone violence »
J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4.000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.
Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée » ? Que « le socle d’une société épanouie est l’éducation » et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ?
Quelle VASTE BLAGUE !
Non : quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !
Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits Français de souche.
Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…).
Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français).!
Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles ?
Le Français est pour eux une « langue étrangère », la langue des « mécréants » comme ils aiment à me le répéter.!
Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :
Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à disposition de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations.

Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI (tableau numérique interactif) d’une valeur totale de 100.000 euros – un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaire et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’État car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif ) etc, etc, etc.
Je continue ?
Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges. Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.
Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration. Quel que soit le sujet que j’aborde, en histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie.
Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.
La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps…
Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.
J’ai renoncé.
Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre : propos haineux à l’égard des français, des juifs, des femmes, des homosexuels…
L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’État islamique et de la charia.
Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.
Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée.. vous serez convaincus

Marie-Fleur
56300 PONTIVY

1 juillet 2017

Une expérience collective

Publié par ditchlakwak dans Les choses de la vie

Une expérience collective dans Les choses de la vie courses

Faire ses courses offre une occasion de partager une expérience collective et mystique. Nous marchons les uns à côté des autres. Chacun porte son panier, pousse son chariot. Personne ne masque ses achats. On sait que tel homme a une peau sensible, adore l’andouillette et a des enfants qui aiment les céréales au chocolat en forme d’animaux ; on sait que telle femme aime les tartelettes au citron meringuées, a les cheveux secs, et l’unique portion de saumon et de riz au curry indique qu’elle est célibataire. Les paniers révèlent notre intimité : nous savons tout de nos salles de bains, de nos toilettes, du contenu de nos frigos et de la composition de nos familles. L’exhibition innocente est la règle. Nous sommes nus comme des gamins et cela ne nous gêne pas.*

30 juin 2017

Dans un club échangiste

Publié par ditchlakwak dans Les choses de la vie

«J’ai travaillé une nuit dans un club échangiste et voici ce que j’ai vu…»

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Notre journaliste Louis-Philippe Messier a travaillé une soirée comme commis-débarrasseur dans un club échangiste de Montréal. Il y a découvert un milieu codifié et policé qui a sa morale et ses interdits.

Pour un soir, je suis le commis-débarrasseur de L’Orage. En pantalon de complet, chemise blanche, souliers vernis, je ramasse les verres vides pendant que les gens bavardent, dansent, s’accouplent. Le propriétaire, Jean-Paul Labaye, sait que je suis journaliste. De moi, il n’a exigé qu’une chose: l’anonymat pour sa clientèle. Des personnalités fréquentent ces lieux; j’ai juré de taire leur identité.

Premier constat: l’activité sexuelle ici est mimétique.
Un gars se déshabille sur la piste de danse et prend sa blonde par-derrière; deux ou trois autres couples font alors à peu près la même chose.
Deux femmes s’embrassent? Dix autres les imitent.
Passé minuit, la piste de danse et le bar se vident. Les couples s’amusent.
Il y a un minimum de murs afin que tout soit visible sur deux étages assez vastes pour accueillir quelque 300 personnes – 160 le soir où je suis là.
Les lits sont animés. À gauche, à droite, derrière, devant, partout, il y a des gens nus, actifs. De 20 h à 3 h, je ne vois pas le temps filer. Le spectacle est distrayant.
Je retiens quelques observations de ma soirée de travail à L’Orage.

Civisme libertin
1.
Les échangistes sont bien ordonnés. La permissivité sexuelle dans un groupe avec certains étrangers, ça impose un haut niveau de civisme. Même au plus fort d’une orgie lorsque tout le monde est nu (sauf moi), les libertins de L’Orage m’étonnent par leur politesse. Malgré leurs exploits kamasutresques, je leur trouve un côté garçon scout.

Permission explicite
2.
Poser sa main sur l’épaule d’une inconnue pour amorcer la conversation, ça peut toujours se faire dans un bar normal. Mais pas ici. Il n’y a pas de vêtements, alors c’est la «bulle» autour de la personne qui la protège. Tout contact – même un effleurement – exige une permission explicite. Interdit d’insister en cas de refus. (Personne n’est obligé de coucher avec vous.) Un homme harcelant se fait rapidement montrer la porte.

Pas de photos
3.
C’est peut-être le plus important des règlements: pas de photos. On ne rigole pas avec ça. Ces images pourraient être utilisées à des fins de chantage ou être publiées dans des sites pornographiques.

Fais ce que veux
4.
Le libertinage impose sa propre éthique, ses propres interdits. À la vue d’un homme qui se touche avec insistance devant deux jeunes couples en train de faire l’amour, je grimace de dégoût. Une collègue vient alors me gronder. Chacun fait ici ce qu’il veut. L’homme ne fait donc rien de répréhensible. C’est moi qui suis immoral de montrer du dégoût pour lui.

Intimité interdite
5.
Au club L’Orage, exhibitionnisme et voyeurisme font loi. Nul n’est donc censé s’isoler dans une pièce fermée – par exemple l’une des nombreuses douches – pour avoir une relation intime. Ce serait contraire à l’esprit de l’échangisme. Obligation d’agir en public. Tu veux de l’intimité? Reste chez toi.

L’âge et la lumière
6.
Les lumières tamisées instituent une certaine égalité entre les corps et les peaux. La pièce légèrement moins éclairée attire des gens plus âgés. Les plus jeunes préfèrent étaler leur perfection dans la lumière.

Discipline du drap propre
7.
Dans l’air flotte un parfum d’assouplisseur de tissu. Une préposée veille à la propreté des lits. Ce sont presque toujours les clients eux-mêmes qui changent la literie après leurs ébats. Par respect pour les prochains utilisateurs. Civisme, je vous disais. Des centaines de serviettes de bain blanches sont accessibles aux clients qui, n’importe quand, peuvent se doucher. Sur les tables de chevet, il y a des bols pleins de préservatifs.

Effet choral
8.
Une vingtaine de femmes prises simultanément dans un même lieu, ça produit de la musique. Parce que les couples peuvent s’entendre, ils ont tendance à se synchroniser, voire à s’harmoniser, comme une chorale. Ces couples font vraiment l’amour ensemble dans une communauté de rythme et de volume. Le gémissement féminin évolue par vagues en crescendo. Parfois, un homme émet un râle ou un cri qui gâche la mélodie; j’ai envie de lui dire chut.

Sobriété vestimentaire
9.
La plupart des femmes ici n’éprouvent pas le besoin de se vêtir de façon affriolante ou minimalement. À quoi bon? Tout le monde va se retrouver nu. Un code vestimentaire oblige la clientèle masculine à bien s’habiller. «S’il fallait que nous laissions entrer des gars en espadrilles, gaminets et casquette, toutes les femmes s’enfuiraient!» m’explique une employée.

Guerre du poil
10.
Il y a d’un côté les glabres bronzés musclés au pubis épilé, et de l’autre, disons, les gens normaux, modérément velus, à l’épiderme non orangé et à la musculature non gonflée. Chaque groupe fait ses affaires sans se mélanger à l’autre, ai-je l’impression. Qui se ressemble s’assemble.

Monogamie têtue
11.
Le mot échangisme est trompeur. Plusieurs Européens se plaignent que les Québécois, justement, refusent les «échanges» ou les nouveaux partenaires. Plusieurs couples que je vois ici restent entre eux. Ils sont ici pour voir et être vus. Pour faire l’amour en société. Mais pas pour admettre une tierce personne dans leurs ébats. Une certaine monogamie prévaut donc ici aussi.

Ébriété malvenue
12.
Pas question de tolérer les différents états seconds dérangeants induits par l’alcool ou d’autres substances. L’orgie doit demeurer relativement sobre pour éviter les dérapages indésirables. Imaginez qu’une cliente se réveille en ne se souvenant plus de ce qu’elle a fait. «Si on remarque qu’une personne est saoule, on arrête de lui servir à boire et on la garde à l’œil», me dit une employée.

Sans vestiaire
13.
À L’Orage, les gens se déshabillent et laissent leurs vêtements pliés ici et là. «Il y a toujours des clientes qui rechignent parce qu’elles ne retrouvent plus leurs sous-vêtements en fin de soirée, mais, habituellement, avec une torche électrique, on parvient à les localiser», me dit une employée.

Le journal de Montréal

 

26 juin 2017

Bienvenue Filimon

Publié par ditchlakwak dans Les choses de la vie

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Un petit éléphant d’Asie a vu le jour au zoo de Moscou. L’éléphanteau a été baptisé Filimon.

26 mai 2017

Doux réveil …

Publié par ditchlakwak dans Les "petits" Kwak, Les choses de la vie

Doux réveil ... dans Les

 

Je ne peux pas me réveiller moi-même ! Je m’y efforce, le corps que j’ai en rêve se meut, mais mon corps réel ne bouge pas. Il en est malheureusement ainsi.

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